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Belladona child in the eastern suburb fields

17 octobre 2009

the ghost of troubled joe

Leave it to me as I find a way to be
Consider me a satelite for ever orbiting

I knew all the rules but the rules did not know me
Guarantee

Les choses passionantes qui ponctuent notre existance : En réalité, Roger a suffisamment de Miles pour financer UN aller-retour pour Frisco, le nom de The Tartelettes lui plaît énormément; Morgane s'est faite violer par un couple d"amis" dans la maison de la grand mère de la fille; Selon un test idiot je fait l'amour à la Folk, Morgane à la pop. Je n'ai pas rappelé Max, Max pique du cuir chez Vuitton pour griffer des sangle de guitare Marc Jacobs; J'ai à vélo a failli entrer en collison avec le-garçon-à-l-étui-de-guitare-Burberry, lui même à velo; Popo à un atelier; Léa s'est acheté les deux paires de Repetto violettes, modèle talons & boots; Mon addiction au café est dans une phase de pic alarmant, je doit rester cloitrée chez moi ce soir hum.

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23 septembre 2009

je suis mutine, tu es blue jean

       you not speaker French.)

Me was French Cat with a rolling accent champaigne and a motor capote, me sang out of key when i was high you nice hotel nice bathtube and fine champaigne.)



TREVE DE PLAISANTERIES, QUI VIENT AVEC MOI VOIR LES BONAPARTES AU FURIA?

"Sic Transit Gloria Mundi" Proféra Etienne de Bourbon, prophète éclairé à travers les âges.

Parallèlement, je tente de mettre fin à deux ans de chassé-croisé peut-être involontaire, et qui sait peut-être également pourrais-je espérer une issue heureuse bien que j'en doute fortement hahaha.

parce que ce que je voudrais t'expliquer, c'est que si tu regardes tout le monde aussi intensément de cette manière incroyablement étrange, tu vas finir par te faire casser la gueule.

Les folies sont les seules choses que l'on ne regrette jamais, proféra un autre génie mais, ça n'est pas même une folie, alors..

Bon et toi, tu n'as qu'à te barrer sur la lune et on n'en reparlera plus jamais.
      

4 septembre 2009

Shake-Shake Boogie-Woogie

Bonjour. J'ai des pulsions bizarres. je joue sur le fil. Avec le feu, dangereux dangereux. Mick comprend. Et ce sublime crétin les deux pieds dans la boue, avec ses cuisses inespérées,  je le relègue où? A une partie de mon anatomie qui fait moins mal, Monsieur. Il n'en valait tellement pas la peine.

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Cette semaine, j'étais donc à st malo, où après seulement deux jours magnifiques de soleil à apprécier John Fante sur la plage, un déluge apocalyptique s'est abattu sur la ville. Malgré tout, escapade à la Route du Rock (qui n'a pas lieu à Saint malo comme on vous le vend, mais au fort de Saint Père ce qui signifie errance dans la campagne et garage de la voiture dans un champ boueux.) A part pester, j'ai découvert et re-découvert avec une extase immense tout d'abord ELECTRELANE, quatre demoiselles de Brighton. Là, voix angélique, clavier habité et riffs costauds se mêlent pour une magnifique alchimie en live, les belles ne plaisantent pas, nous livrent beaucoup d'instrumentaux parfaitement menés, le piano est épique et la rousse guitariste n'hésite pas à malmener sa SG comme il faut pour en extraire un martèlement de plaintes electriques. ALBERT HAMMOND JR ensuite, surprenant d'entrain et de charisme, proche du public et accompagné d'un excellent backing band. Quelques fluos kids allumés hurlent 'Albeeeert' à la bonne façon de chez nous, mais sinon le set est excellent. La pluie arrive avec SONIC YOUTH qui rejoue pour l'occasion l'intégralité de leur pièce montée froide, brute et noisy Daydream Nation. Je suis subjuguée. Ils sont parfaits. Kim Gordon est magnifique. J'aurais dû mettre des bottes.

 

Sinon j'ai acheté un vynil des Stones. (Around & Around, avec cette belle pochette qui met les cinq trublions tant à leur avantage..!)

26 août 2009

moi aussi je t'aime à cinq heures du mat sur les stones et merci encore pour fante

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Dans une semaine je serais sur la plage de saint malo en plein vent je suppose, comme tous les ans et j'anticipe une boule dans l'estomac que les probabilités soient minimes et pour emmerder le hasard je porterais les fringues les plus absurdes possibles. (J'écoute les Cramps, est-il encore possible de déclarer celà sans connotation ddéééplorable? Les Cramps quoi. New Kind Of Kick rhhhhhha.) J'essaierais de passer à la Route du Rock, hein.

Bref, c'est l'avant parenthèse que nous discutions devant l'Eglise ce samedi soir, les jambes emmêlées, discourrant également sur, plus ou moins dans l'ordre, les paroles d'Ex Fan Des Sixties (Est-ce vrai que Jane cite T.Rex? Je n'en ai aucun souvenir), le diamètre d'un Octobre ou l'année de disparition de Brian Jones (69 pas 68!). Babé porte LA tenue ringarde nec plus ultra, Levis taille haute, pull blanc cassé sans manches informe aux motifs invraissemblablement laids, cheveux ébouriffés, on se marre, je l'aime. Je porte une robe bleue toute froissée. Babé fait l'éloge de mes jambes. Je hausse les épaule. C'est le vélo, ça, dis-je. Snif. Le chinois est fermé alors on se fait un libanais, on s'émêche à la fausse absinthe (infâme ârôme de plantes mais 25 degrés.) Puis, adieux déchirants soirs sur les trotoirs. Deux mois de cours, noooon deux moiiiiiis! On se tourne le dos, on fait mine de s'en aller, on se retourne et court vers l'autre, on s'embrasse, je m'enfuis vers chez moi. Quand j'arrive dans le coin, il est un peu tard. Les rues sont désertes. J'ai soudain une étrange apparition : Cinq garçons torse-nus vêtus de pantalons cigarette blanc jouent au badminton en plein milieu d'une avenue. Je longe les murs. Arrivée chez moi, je dois me rendre à l'évidence : Mes clés ne sont pas dans mon sac.

Ainsi je me retrouve, à six heures du matin, recroquevillée sur un perron étranger, lisant John Fante (La Route de Los Angeles), sirotant la fausse absinthe infecte. Des gens passent promenant leurs chiens, me jettent le même regard ahuri. J'attends qu'il y ait de la lumière dans la cuisine, je suis polie. Alors je lis Fante et je guette la lumière à la fenêtre. C'est bizarre, ça finit toujours de la même manière.


_sinon je vous offre Baudelaire, et pas pour rigoler. (J'hallucine) Tu sais quoi? J'ai le futur régressif & une obsession au présent. (Phases de contes compulsifs, essai + brouillon de trame narrative blabla franchement mauvais mais il faut que ça sorte les amis .)

bonne soirée.

20 août 2009

la porte qui claque sur ton coeur -haha le fou rire du drame.

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Quelqu'un a écrit que Chinaski est vivant au pont des Arts mais ça n'est pas de cela dont je vais vous parler.

 

Plutôt des ombres du ciel à la fenêtre, quant à dix heures du soir il fait encore insolemment jour et qu'appuyée à la rambarde j'essaye de faire en sorte que la fumée ne rentre pas dans la pièce, avec un fond de whisky et un roman similaires d'amertume et de réconfort, et le téléphone qui ne sonne pas et Leonard Cohen en sourdine depuis la platine. je contemple la ville qui ne me voit pas et les yeux me brûlent et ma gorge se serre et tout celà ne m'inspire que du dégoût en somme. On a jamais idée de la merde qu'on peut foutre à l'intérieur de soi quand même.

Le problème, vois-tu, c'est de dépendre tellement des autres et de ne s'en rendre compte quand plus personne n'est là parce que tu les a plus ou moins foutu dehors et vraiment ça n'est pas très malin d'aimer comme ça. Je ne fais pas l'apologie d'une quelconque frigidité du coeur parce que ce ne sont que des fantasmes intrinsèque de gens blessés. Avoir l'air tellement forte et n'être à l'intérieure qu'une poignée de pages arrachées d'une oeuvre radicalement remaniée.

Quant A. m'appelle j'ai tellement envie de pleurer mais ses paroles me font sourire avec mes litres de prose éthilique dans le sang et je dis que je veux partir en Inde moi aussi et en fait je crois que j'ai une propension maladive à suivre qui que se soit au bout du monde (ou juste d'aller voir la mer enfin ça c'est une autre histoire aussi on n'est pas non plus obligés de se noyer à la fin comme dans le roman parce que bon la littérature...)

Enfin je décroche le téléphone et l'on me rétorque une histoire invraisemblable du genre tu vois c'est comme un homme et une femme qui sont mariés depuis vingt-cinq ans et l'homme aime sa femme profondément mais juste un soir il a envie d'aller voir une jeune fille blonde et parfaite et après il revient auprès de son épouse parce que c'est cette dernière qu'il aime mais bordel est-ce que tu te rends comptes des choses que je me prends en pleine figure par moments ou pas? je connais ton desespoir chronique mais ne me fais pas croire que tu ignores le mien. Donc je finis mon verre de whisky et aussi une autre pinte du roman et puis ensuite la nuit tombe, enfin. Des gens me font signe d'Angleterre ou des alentours et je tappe sur le clavier comme si ma vie en dépendait et je sirote du thé à la vanille parce qu'à présent la migraine m'a repris. Oh, le téléphone ne sonnera plus. Comme on est seul, tu sais dans toute cette immensité. Et ce fantasme de pouvoir se suffire à soi-même oh, dis-je à jack, c'est de la littérature, ça fait pleurer les rêveurs et grincer des dents.

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16 août 2009

listening to you i get the music

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Aujourd'hui c'était Parutions diverses & variées; Dis-moi, combien de temps que tu n'avais pas écris attablée à La Fourmi devant un demi à la violette? Les gens sont toujours les mêmes, en fond sonore quelque compilation Motown; Je me sens bien (&) là.
Comment aborder le jeune intellectuel en jean étroit & veste de velours plongé dans son carnet moleskine?


-"Excuse-moi, tu n'aurais pas une cartouche..?"

(Je nous aime, vu de l'extérieur. A l'intérieur c'est un peu en friche.)

& dimanche soir nous réapparaissons aux Blues & Roll, et rien n'a vraiment changé : Manoeuvre danse; tous les visages que nous connaissons depuis des lustres, des bonnets & des bananes, mais Mathieu n'est pas là curieusement, les bières sont chères & il n'y a pas de lumière dans les toilettes. Les gens n'ont plus vraiment douze ans parce que l'on a grandis. Les Tatianas, abrasifs, plus électriques que jamais, qui jouent quand même 'rock & deceit', & fuck the brats, & fuck the naast... Leur place, ils l'ont définitivement trouvée. Ensuite c'est avec grand plaisir que nous assistons au show de Thomas & ses excellents Rolls, que nous n'avions pas vu jouer depuis quelque temps. Déchaînés, dans la sono cruellement défaillante du Tryptique les garçons sonnent façon western punk. Charles enchaîne les envolées solistes sur sa SG mais nous déplorons l'absence du bottleneck adoré. Thomas ramasse un bison en plastique, et nous avons droit à un bel épilogue country. Dans le public, Greta & moi parvenons à trouver une place confortable à l'abri des pogos. Cruelle ironie c'est pour me jeter dans les bras de Bounty & son regard terrible, des souvenirs amers & candides d'un bel été et en particulier d'un soir sur ce trottoir strazboursien détrempé, écharpe & parapluie à pois... J'aime sa nouvelle coupe mais ses copains sont des cons. La salle se vide doucement, nous discutons contre un mur. Un garçon d'environ seize ans qu'une jeune pouf maquillée comme un camion volé enlace me fait de l'oeil depuis un quart d'heure, tombe de vénération lorsqu'il réalise que je connais le chanteur, se rapproche dangereusement transi. Je veux mourir. Je n'ai pas de réseau. Nous sortons; Greta n'en réchappera pas indemne : Kinder se lance sur elle, ne la reconnaissant probablement même pas, pousse un rire sardonique et lui pince un sein. Sur le trottoir nous observons les gens. je me demande s'il est tellement difficile d'entrer un numéro dans un répertoire. Nous sommes exténuées & blasées mais nous avons retrouvé quelque chose. Dans le rire de Kinder ou le sourire de Bounty, l'insouciance.

(Chocolatée)

11 août 2009

pirate love is what i'm wanting for...

Fin de soirée Shebeen en apotheose. Serais-je capable de conserver des relations? (J'aime tout le monde en réalité, c'est mon côté hippie qui fait son come-back) Pirate Love Pirate Love à presque trois heures du matin. Samedi Iggy à la fête de l'Huma. Je crois que j'ai un nouveau groupe, j'ignore ce que ça va donner. C'est ennuyeux d'aimer tout le monde, mais je parviens à fermer l'oeil pour la première fois depuis une semaine et un jour. En tout cas ça m'aura permis cette lettre ouverte, à double destinataire. Iggy à la fête de l'Huma quoi. Vous y croyez, vous?

NB : LE GIN rend méchant, con, fait dire des ânneries et des choses inconsidérées, et,surtout, rend méchant. Ce n'est pas une fatalité, le whisky peut vous aider à arrêter. (Au moins ça rend aimable).

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4 août 2009

merde je ne sais plus nous faire de mal // haine dans tes prunelles la frustration à ronger ton paraître.

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C'est beau la nuit si toi aussi le romantisme urbain te transcende. Sur la passerelle de bois j'écoute l'histoire de son père, ce que j'ai la délicatesse de comprendre sans explications exhaustives. Ivres nous sommes plus cons les uns que les autres.

Mojito sur mon t-shirt Sonic Youth. Tu vois on essaye tous de se sentir plein de chaleur humaine ouvert et amoureux de l'autre.. Vapeurs acoustiques dj propagande, une nappe de filles teenage faussement délurées qui ont dû se paumer en chemin, en fait non, tu essayes d'avoir l'air indifférent et calme, et ton sourire nait aussi abruptement qu'il s'évanouit. Pourquoi ton regard est-il si froid? Reflet de vitre miroir, ton regard tranchant M, yeux si sombres et tu essayes tellement de poser un sourire naturel sur tes lèvres et je lutte tellement pour faire de même. Et les filles passent et rient et se pâment et les autres se prêtent parfois au jeu mais toi ton regard est une écorce vive de scarabés figés en plein vol luisant et sollenels. On ne va jamais s'en sortir, M. Ces yeux-là me tuent, parfois je me demande si ça n'est pas ce que tu souhaites vraiment. Ha pour le coup, ça ferait un beau meurtre.

Et ce baiser sur la banquette. J'aime pas ça. J'aime pas les gens 453123 fois par jour je m'interroge sur l'identité de l'enfant de salaud qui a eu un jour la dramatique idée d'inventer les autres. Blague à part.

Je veux tout pour moi et rien à la fois, et tu aspires aux sommets et tu continu de marteler tes quatre cordes dans un groupe que je n'aime pas qui tourne trop dont les morceaux ne me touchent plus dont les mélodies me semblent si froides et distantes et tu en oublie ce que tu fais et tu t'évades en plein set et tu bondis sur place pour traverser le sol vers les tréfonds infinis du chantier; et, c'est toujours la répétition chiante et morne moquette grise et l'acoustique aléatoire des petits boxs; tu préfère fumer dans la cour. Mercredi c'est demain mais hey, voilà pas que tu va jouer jusqu'à Châtillon maintenant avec les sosies des Libs.

 

Laisse moi baiser l'ombre de ton ombre, je t'admire tellement malgré tout d'avoir le courage d'oser être grandiose.

24 juillet 2009

Fiac Forever; Beaux-Arts girls mode on

Paris est tellement vide comme s'il faisait moins vingt de température extérieure. Tu danses tu chantes il cherche l'arrêt le bus file file file le bar est vide c'est jeudi soir la ville est vide vide vide. La ville te regarde de travers et elle rigole que c'est Noël mais ça n'est pas même l'hiver. Tu portes ton foulard à imprimé pied-de-poule et ton gilet noir est trop serré à la ceinture et elle veut aller boire un Martini à Trocadéro (mais ils dorment tous) mais les bars sont fermés et il fait si froid. J'ai deux sachets de Twinings à la rose dans la poche de mon trench. Les bus vont tous dans le mauvais sens. La lune est ronde et se reflète dans la Seine j'aurais pû mourir à cet arrêt tu sais et étrangement les paroles de 'Whos got the crack' venaient aux lèvres. Maintenant je suis malade et la fièvre me fait délirer vous le savez aussi bien que moi cette rue nous la remontons vers la lumière du bout-qui-n'existe-pas car cette rue est comme toutes les rues du monde, elle n'a pas simplement pas de fin. Vous le savez les panneaux mentent vous savez aussi que la ville te regarde la ville nous regarde et la ville aime celà, elle, lui, eux tous.

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Un Peu Plus Tôt :™ Nous buvons un Martini; la bière est infâme, je mange le citron,
M. . porte son écharpe à imprimé pied-de-poule ses joues sont deux ronds rouges et j'ai diablement envie de les embrasser. Nous mangeons des Mi-choko. La Place Saint André des Arts est bondée. Et nous disons « Oh, ce soir, ce soir cela va être tellement bien ».

 

Et cela ne veut tellement rien dire.
Oh, cela n'a tellement aucun sens.
   

17 juillet 2009

fugues en cerise majeure™

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J'essaie d'écrire à jeûn, sans fond sonore j'entends, mais rien ne saurait pourtant ôter de devant mes prunelles abasourdies les images et ...oh c'est un très mauvais début. Que puis-je écrire ? Ca ne saurait avoir de sens, mais je ne pourrais passer outre quand même... Donnez-moi un mot, une esquisse d'intelligible... NON. Celà fait longtemps, là j'ai envie d'être egoïste. Rien ne franchira le seuil de ma pensée.

Mais si bien tard après l'autre nuit, couchée en chien de fusil sur un paillasson dans je-ne-sais-plus-quel-immeuble, je n'arrivais pas à fermer l'oeil à cause d'une lumière à la source introuvable, il me semble à présent que c'était une torche allumée en mon être - que c'est mauvais, regardez comme on devient lamentable à évoquer des moments pareils! - Oh oui la Lumière faite chair entrée par mes orbites et soudain honteuse j'irradie. Pourquoi moi? Ce n'est pas mon genre pourtant de luire de la sorte, d'ailleurs je t'ai empêché de dormir. Ha, je hais cette rue, mais bon sang, c'est aveuglant. Piétinez-moi, etc, je crains que ça mette du temps à s'éteindre.

ps: les affres de la technologie moderne // wah wah. mon clavier foncionne à 80 pourcents par tranches de 5 mn jai du conracter qq virus donc il vous faudra patienter pour recit de la route du rock & comment jai cru revivre le deluge & comment jai cru voir des visages & des ombres & des silhouettes de cuisses reconnaissables meme par obscurité profonde 13 aout je tombe en extase ((aussi)) dvt Electrelane & Sonic youth oh oh ohoooooh

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